Ranch keep Pace : )

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« Je continu demain ( O ) : ) »

Un énorme soulagement s'empara de moi, je me lança en direction de la cours. Quand j'y fut, les deux chevaux avaient stoppé leur bagare et vinrent à ma rencontre. Il avaient tout deux l'aire à de vrai chevaux sauvages; Aucuns licols, la crinière égriché, la boue sur leur magnifique robe ébouriffé, l'allure fier... J'avais toujours sur moi, dans mes poches, quelques gâteries que je leurs apportait toujours, j'en sortis donc quelques carottes bien orange. Les deux se régalèrent et me suivirent dans les écuries. Je les mis tous les deux dans leur boxs respectueux et passa à la sellerie. Je pris le licol de cuir de Wyoming et j'en pris un ordinaire pour Sunny Lady. Je revint dans les allées et vis aussitot Wyoming qui était à nouveau sortit de box! Voilà comment ils avaient sortient tout les deux. Wyoming aurait du bien m'observer ouvrir le loquet du box et ensuite recopier mon geste. J'installa le licol de Wyoming et le sortis dehors. Je marche tranquillement vers les grands prés verts du domaine, suivit du cheval. Ses oreilles pointe de tout les sens, curieux de ce qui l'entour. J'ouvre la barière blanche qui nous sépare du pré réservé à l'étalon. `Je regarde l'étalon brun-noir à l'allure fier. Un brin de sauvage dans les yeux, je vois sont envis de se défoulé entièrement. Au moment où je lâche l'étalon, celui-ci hésite un moment, puis s'excite. Le cheval, de ses puissants muscles, fait un énorme départ au galop en ruant de tout les sens. Il était magnifique, je n'en revenait tout simplement pas. J'avais hate de débuté mon élevage de Quarter Horse, mais j'attendais le bon moment pour m'acheté une petite jument Quarter Horse de bonne qualité. Pour l'instemps, je me contentait de Sunny Lady. Je regardait la cadence du grand brun qui défilait devant moi, j'en profita pour prendre plusieurs photo de mon appareil photo numérique. Je ne l'ai surement pas dis, mais j'ai toujours aussi eu une passion pour la photo, en particulier les photos de chevaux... Je pris donc une dizaine de photo de l'étalon fougueux, jusqu'à ce que j'entendre quelque chose dans la cours. J'abandonne mon cheval et cours vers la cours. Un gros truc ford noir, suivit d'un traileur neuf, entrait dans le parking principal. Spartan, le cheval frison! Je l'avais complètement oublier celui-là!
Et oui, aujourd'hui un nouveau cheval fait son entré chez nous. Un étalon frison de 11 ans nommé Spartan. J'avais entendu parler de chevaux à donner près de chez moi et j'avais dessider de prendre ce magnifique cheval frison à l'allure fier et têtu. J'entend un vacarme énorme à l'arrière du traileur, l'étalon à envit de sortir. Un homme descend du gros trucs et me regarde d'un aire inquiet.
« Le voici, Spartant, me dit-il en pointant le traileur. »
L'étalon à l'interieur était trempé. Un hennissement aigu se fit entendre. Un hénissement de détresse. Stressée, l'étalon avait eu du mal à supporter le voyage. Il ne comprenait pas. Le van était si étroit, mais enfin il était arrivée. Il botta, cherchant un moyen de sortir. Je pris la longe accroché à la porte de l'écurie. Entendant les sabot du cheval marteller le sol et ses hénissement aigu, Je sut que s'était vraiment le moment de sortir l'étalon de là-dedans. J'ouvris la porte du traileur. Le frison sentit une brise fraiche venir s'engoufrer dans le van, enfin de l'air. J'embarqua dans le traileur par la porte de devant, lui chuchotant des mots doux pour le calmé, caressant l'encolure musclé du cheval. Celà le détendit un peu, mais la sueur qui coulait le long de son corps en disais long sur son voyage. Je détacha doucement le cheval et le fit reculer. Il descendit le plus vite possible du traileur, terrirosé. Il était toujours aussi stréssé et me marchait presque dessu, je n'avais pas envis de le coriger maintenant, il était déjà apeuré comme ça, je n'vais pas envis de le frustré en plus. Je signa les papiers et remercia le bonhomme. J'entra dans le manège avec l'étalon et le lâcha lousse. Il s'éloigna le plus possible de moi, à l'autre bout du manège. Ce soir, il dormira ici. Je n'avais pas envis de l'enfermé à nouveau dans une supossé boîte... Je laissa les grande porte du manège ouverte, mes installa les barières pour ne pas laisser le cheval sortir.
« Aurevoire mon beau noir, dis-je en regardant derrière moi une dernière fois avant de quitté le manège. »
Je retourna au box, pris la jument et l'emmena à l'extérieur elle aussi. Je la lâcha lousse dans l'un des grand champs réservé au poulinière. Elle trottina, mais pas longtemps. Son énorme ventre devenu énorme la fatiguait énormément. Sa petite tête s'enfouie dans l'herbe haute, ce qui me fit sourrire.
« À demin Sunny Lady ... »

J'embarqua dans mon auto, l'étalon lanssa un énorme hennissement.
'' Aurevoire Wyoming .. ''

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